Suivi de l’artificialisation des sols : webinaire du 6 juillet
Actualités
Les commentaires sont fermés.
En France comme en Europe, des objectifs convergents de réduction de l’artificialisation ont été décidés par les pouvoirs politiques. Ainsi, la France a publié le 4 juillet 2018 le Plan National Biodiversité, qui vise à atteindre le « Zéro artificialisation nette » (ZAN), et prévoit dans son action 7 de publier tous les ans, un état des lieux de la consommation d’espaces et mettre à la disposition des territoires et des citoyens des données transparentes et comparables à toutes les échelles territoriales.
6 juillet 2021 : webinaire sur l’observatoire national de l’artificialisation des sols : ses enjeux et perspectives (700 participations)
Un prototypage de production de données d’occupation du sol,
par intelligence artificielle, a été mené sur le bassin d’Arcachon
Les éléments de contexte et les données produites sont accessibles sur le portail de l’artificialisation des sols.
Le rapport analyse les chiffres du rythme d’artificialisation, (surface des parcelles qui ont connu un changement d’usage dans l’année) à un niveau national et local, en mettant en avant plusieurs éléments permettant de mieux comprendre le phénomène pour mieux le limiter. Il vient en complément d’analyses réalisées les années précédentes, mais basées sur des données différentes
Depuis le 4 juillet 2019 :
L’État met à disposition un observatoire pour comprendre le phénomène de l’artificialisation des sols.
Cet outil de mesure permettra à terme de constater l’évolution de l’artificialisation des sols à l’échelle sur chaque commune, donnant les moyens aux territoires et aux citoyens de suivre, via internet, l’évolution de l’artificialisation et plus largement de l’occupation et de l’usage des sols.
Objectif
Au travers d’un visualiseur cartographique, l’internaute peut, en quelques clics, pointer un territoire et obtenir des indicateurs sur l’artificialisation. Il peut découvrir les surfaces artificialisées depuis 2009, avec un pas de temps annuel. Ces données permettent ainsi aux documents d’urbanisme de faire un historique de leur consommation d’espaces durant les 10 dernières années, comme demandé par le code de l’urbanisme. La différenciation des surfaces par rapport à leur destination (habitat, activités, zones commerciales…) par territoires est également disponible.